Ce que j'attendais depuis genre toute ma vie est arrivé : je suis diplômée! J'ai réussi,j'ai vaincu ma phobie scolaire, bon ma défense de travail s'est mal passée parce que j'ai fait une crise d'angoisse en plein milieu MAIS j'ai réussi! Je suis tellement fière de moi, d'habitude, j'aime pas dire ça, j'aime pas "montrer" ma joie. Mais je suis immensément fière de moi, surtout après tout ce qu'il s'est passé cet été. J'aurai toujours plus de caractère et de combativité que je ne crois. J'ai enfin la pièce manquante à l'intérieur de moi, je ne me sens plus en danger, maintenant j'ai un diplôme, je peux m'assumer moi-même et aider ma mère. Je peux enfin respirer sans épée de Damoclès au dessus de ma tête.
Et maintenant, on va parler de toi, gros connard. 7 ans de ma vie, je l'ai pris chill parce que je ne voulais pas que les gens sachent que ça me touchait mais ça me touche, évidemment. T'es vraiment le plus gros fils de pute de l'univers, t'es lâche et t'es inconséquent et je te plains. Et tout au fond de toi, tu sais à quel point t'es personne et c'est pour ça que tu pleures comme une pute par terre quand tu es saoul. Tu ne méritais pas tout ce que je t'ai donné et j'avais tellement besoin qu'on m'aime et qu'on me sauve que j'ai accepté ça. Et après, ça fait le mec qui a changé pour redevenir le gros fils de pute que t'étais avant, tu changeras jamais mon pauvre, t'es comme la peste, une fois que tu te répands,c'est foutu. Là t'es avec ta vieille meuf qui est aussi alcoolique que toi, c'est mignon vraiment, pas de jalousie ici hein, juste allez bien vous niquer parce que vous êtes pas correctes et laids à regarder puis après ça vient me juger.. Svp, un peu de sérieux. T'as détruit notre groupe d'ami et t'as failli me détruire aussi, tu respectes rien, j'espère qu'un jour, le karma te reviendra bien dans ta gueule parce que c'est tout ce que tu mérites. T'es triste comme mec en fait, je comprends pas comment j'ai pu être aveuglée pendant autant d'années. Il avait raison, t'es mal et t'emmènes tout le monde dans ta spirale mais tu sais quoi ? Continue à te faire entretenir par tes parents pour payer tes petites sorties où tu finis mort saoul et crève du sida.
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Lundi 8 octobre 2018 à 10:59
A
Dimanche 16 septembre 2018 à 15:17
Evidemment que je suis malheureuse, je sais même plus comment le cacher. Ma vie sans toi,c'est nul. J'avais tellement de choses à te dire putain,il s'est passé trop de trucs. Et chaque fois,c'est pareil, j'aimerais courir dans tes bras comme les gosses qui sortent de l'école et qui vont montrer leur nouvelle peinture. Je me suis tellement attachée à toi, de toutes les façons, comme si j'avais lié chaque atome de mon corps au tien.
Et j'ai peur de cet amour que je ressens, surtout maintenant, que c'est fini, que t'es avec quelqu'un d'autre en m'ayant jetée comme si j'avais jamais existé. Je t'en pensais pas capable ou peut être que si, l'amour m'a aveuglée.
Et j'ai peur de cet amour que je ressens, surtout maintenant, que c'est fini, que t'es avec quelqu'un d'autre en m'ayant jetée comme si j'avais jamais existé. Je t'en pensais pas capable ou peut être que si, l'amour m'a aveuglée.
A
Mercredi 22 août 2018 à 18:29
"You have no reason to be mad at me, you broke my heart."
Ce serait mentir que de dire que je pensais que ça pourrait se terminer autrement. Nous voir tomber aussi bas, se faire ce genre de choses mais j'aurais pu le prédire. 6 ans et demi, presque 7, apparemment les relations flanchent après 7 ans, même quand ce ne sont pas de vraies relations, je suppose. Personne sait à quel point tu m'as brisé le coeur, à part peut être ma mère et encore. J'ai cru que j'allais mourir, mec, j'ai pas mangé, j'ai pas dormi, j'ai même fait un putain de malaise à mon anniversaire et mes potes et un peu tes potes aussi vu comment t'étais toujours fourré avec moi, ont voulu m'emmener à l'hôpital.
Putain, comme tu m'as tuée, tu m'as couchée en deux minutes, dans ton lit mais aussi dans ma tombe. Je pensais pas que ça ferait aussi mal mais je ne regrette pas et c'est ça qui me ronge. Tu peux continuer à croire que je regrette d'avoir couché avec mais ce n'est pas le cas et j'en suis désolée.
Peut être que notre amour était juste beau à ne pas être consommé et maintenant tout brûle, même moi. Et peut être que je me consume parce que c'est terminé. 6 ans et demi de ma vie envolés dans la bouche d'une petite pute que t'as trouvé. Ecoute, je suis même pas fâchée, elle ou une autre, c'était de toute façon pas ma place, à tes côtés. Me rendre compte que je me suis trompée à propos de nous et laisser tout ça me pourrir de l'intérieur pour que personne ne sache jamais. Toute cette colère que je refoule et que je refuse de laisser partir. J'aimerais que tu sois mort et je sais que c'est moche. J'ai l'impression d'être volée, tout ça pour ça? J'ai oublié à quel point c'était bien parce que ça ne l'a jamais été. Deux semaines à se voir tous les jours, à dormir ensemble, à s'appréhender, puis tout était fini. 5 mois à essayer de trouver un équilibre, 10 jours pour tout détruire. Que veux-tu que je te dise, je t'avais prévenu que j'étais folle, après toutes ces années, t'avais même testé tous les degrés. Je sais pas si je me cache derrière ma haine pour pas avouer que ça fait mal, les deux sans doute, mais la douleur s'est effacée si vite, y'a comme un arrière gout dégueulasse qui me reste en bouche, à part ça, je ne sais pas.
Toutes ces nuits passées à se raconter tout ce qu'on ne voulait dire à personne, toutes ces journées à rester au lit juste pour te regarder et puis la réalité, en fait, t'es pas si bien que ça et moi non plus et ensemble, peut être que c'est pas ça non plus.
Toutes ces questions pour aucune réponse.. "Cette fois-ci, c'est vraiment fini, tu me rends fou." Je sais pas, t'as bien fini par me rendre folle moi aussi.
Le plus con, c'est qu'il n'y a pas de chute à cette histoire, c'est banal, tu veux une glace, t'achètes une glace, elle fond dans ta main, ça colle, c'était pas si bien que ça, en fait. T'as été une sacrée glace mais t'as fini par fondre, comme tout.
Ce serait mentir que de dire que je pensais que ça pourrait se terminer autrement. Nous voir tomber aussi bas, se faire ce genre de choses mais j'aurais pu le prédire. 6 ans et demi, presque 7, apparemment les relations flanchent après 7 ans, même quand ce ne sont pas de vraies relations, je suppose. Personne sait à quel point tu m'as brisé le coeur, à part peut être ma mère et encore. J'ai cru que j'allais mourir, mec, j'ai pas mangé, j'ai pas dormi, j'ai même fait un putain de malaise à mon anniversaire et mes potes et un peu tes potes aussi vu comment t'étais toujours fourré avec moi, ont voulu m'emmener à l'hôpital.
Putain, comme tu m'as tuée, tu m'as couchée en deux minutes, dans ton lit mais aussi dans ma tombe. Je pensais pas que ça ferait aussi mal mais je ne regrette pas et c'est ça qui me ronge. Tu peux continuer à croire que je regrette d'avoir couché avec mais ce n'est pas le cas et j'en suis désolée.
Peut être que notre amour était juste beau à ne pas être consommé et maintenant tout brûle, même moi. Et peut être que je me consume parce que c'est terminé. 6 ans et demi de ma vie envolés dans la bouche d'une petite pute que t'as trouvé. Ecoute, je suis même pas fâchée, elle ou une autre, c'était de toute façon pas ma place, à tes côtés. Me rendre compte que je me suis trompée à propos de nous et laisser tout ça me pourrir de l'intérieur pour que personne ne sache jamais. Toute cette colère que je refoule et que je refuse de laisser partir. J'aimerais que tu sois mort et je sais que c'est moche. J'ai l'impression d'être volée, tout ça pour ça? J'ai oublié à quel point c'était bien parce que ça ne l'a jamais été. Deux semaines à se voir tous les jours, à dormir ensemble, à s'appréhender, puis tout était fini. 5 mois à essayer de trouver un équilibre, 10 jours pour tout détruire. Que veux-tu que je te dise, je t'avais prévenu que j'étais folle, après toutes ces années, t'avais même testé tous les degrés. Je sais pas si je me cache derrière ma haine pour pas avouer que ça fait mal, les deux sans doute, mais la douleur s'est effacée si vite, y'a comme un arrière gout dégueulasse qui me reste en bouche, à part ça, je ne sais pas.
Toutes ces nuits passées à se raconter tout ce qu'on ne voulait dire à personne, toutes ces journées à rester au lit juste pour te regarder et puis la réalité, en fait, t'es pas si bien que ça et moi non plus et ensemble, peut être que c'est pas ça non plus.
Toutes ces questions pour aucune réponse.. "Cette fois-ci, c'est vraiment fini, tu me rends fou." Je sais pas, t'as bien fini par me rendre folle moi aussi.
Le plus con, c'est qu'il n'y a pas de chute à cette histoire, c'est banal, tu veux une glace, t'achètes une glace, elle fond dans ta main, ça colle, c'était pas si bien que ça, en fait. T'as été une sacrée glace mais t'as fini par fondre, comme tout.
A
Vendredi 24 novembre 2017 à 15:01
"Je me sens si lointaine. Étrangère, à vos yeux Et pourtant je vous aime, mais partir, il vaut mieux. Je me sens si sereine, vous me manquez un peu. Mais où la vie me mène, je vous veux, silencieux."
En fait, j'assume toujours pas et je tourne autour du pot. Ca fait trop longtemps que j'évite d'être certaine de ce que je sais déjà.
C'est pas parce que mon mec m'a demandé d'arrêter de lui parler que je veux couper les ponts, c'est parce qu'il me rend tellement mal.
J'en reviens pas qu'il puisse combler toutes mes attentes et me détruire en même temps.
Y'a même jamais eu une seconde d'hésitation, j'aurais choisi mon copain de toute façon mais je suis quand même déchirée.
Il a qu'à se demander, lui, pourquoi il est toujours en train de me sauver dès que je fais de la merde.
Je peux plus supporter ça, être avec lui sans être avec lui, chaque fois qu'on retrouve ce qu'on avait, il fuit et j'ai plus envie de lui courir après.
J'ai plus envie de laisser toutes ces années filer en attendant qu'il revienne parce que j'en ai marre. C'est pas une question de sentiments mais de maturité, faut croire que je vieillis, du coup.
En fait, j'assume toujours pas et je tourne autour du pot. Ca fait trop longtemps que j'évite d'être certaine de ce que je sais déjà.
C'est pas parce que mon mec m'a demandé d'arrêter de lui parler que je veux couper les ponts, c'est parce qu'il me rend tellement mal.
J'en reviens pas qu'il puisse combler toutes mes attentes et me détruire en même temps.
Y'a même jamais eu une seconde d'hésitation, j'aurais choisi mon copain de toute façon mais je suis quand même déchirée.
Il a qu'à se demander, lui, pourquoi il est toujours en train de me sauver dès que je fais de la merde.
Je peux plus supporter ça, être avec lui sans être avec lui, chaque fois qu'on retrouve ce qu'on avait, il fuit et j'ai plus envie de lui courir après.
J'ai plus envie de laisser toutes ces années filer en attendant qu'il revienne parce que j'en ai marre. C'est pas une question de sentiments mais de maturité, faut croire que je vieillis, du coup.
A
Mercredi 4 octobre 2017 à 15:51
C'est bien la première fois que j'écris en allant bien. Tout va bien, j'ai réussi tous mes examens au final, j'ai validé tous mes cours en ne foutant quasi rien, j'en reviens pas. J'ai attendu 2-3 jours qu'ils m'appellent pour me dire que c'était une erreur mais ce n'est pas arrivé. Je suis tellement légère et rassurée. Pour la première fois de ma vie, je me couche avec l'esprit tranquille. Je me demandais ce que ça devait faire de ne pas toujours être préoccupé, bah putain, ça fait DU BIEN.
Et là je vogue un peu, je m'en balek de tout, sachant que j'ai enfin atteint l'objectif que je me suis fixée y'a de ça un milliard d'année , j'ai l'impression.
Mais du coup, évidemment, j'ai recommencé à m'inquiéter pour des trucs à la con, la différence,c'est que maintenant, je sais que c'est des trucs à la con.
Je crois que j'ai jamais aimé comme je t'aime. J'en suis sûre en fait, après toutes ces années. Toi, toujours toi. Chaque fois que tu me touches, j'ai l'impression de me prendre un mur en pleine face. Chaque fois que tu m'embrasses, c'est comme mettre de la drogue directement dans mes lèvres.
A quel point je te trouve parfait, même dans ton lit avec les cheveux gras, 1000 fois je repousserai n'importe qui pour toi.
C'est toujours la même chose, je pense toujours que tu es un connard et puis je te vois dire bonjour à ta nièce et je suis comme hypnotisée, la douceur que tu mets dans chacun de tes gestes.. Comme tes caresses sur mes joues valent 1000 fois ce qu'on m'a offert avant. Absolument rien ne peut remplacer tes mains sur moi. J'ai essayé, vraiment mais c'est comme un labyrinthe avec une seule sortie qui me ramène toujours à toi.
Ce qui me fascine, c'est qu'après toutes ces années, j'ai toujours la même boule au ventre quand je te vois, à quel point j'appréhende ton jugement sur moi. Le monde n'a jamais été aussi beau que dans tes bras. Et pourtant, t'es toujours un abruti.
Et là je vogue un peu, je m'en balek de tout, sachant que j'ai enfin atteint l'objectif que je me suis fixée y'a de ça un milliard d'année , j'ai l'impression.
Mais du coup, évidemment, j'ai recommencé à m'inquiéter pour des trucs à la con, la différence,c'est que maintenant, je sais que c'est des trucs à la con.
Je crois que j'ai jamais aimé comme je t'aime. J'en suis sûre en fait, après toutes ces années. Toi, toujours toi. Chaque fois que tu me touches, j'ai l'impression de me prendre un mur en pleine face. Chaque fois que tu m'embrasses, c'est comme mettre de la drogue directement dans mes lèvres.
A quel point je te trouve parfait, même dans ton lit avec les cheveux gras, 1000 fois je repousserai n'importe qui pour toi.
C'est toujours la même chose, je pense toujours que tu es un connard et puis je te vois dire bonjour à ta nièce et je suis comme hypnotisée, la douceur que tu mets dans chacun de tes gestes.. Comme tes caresses sur mes joues valent 1000 fois ce qu'on m'a offert avant. Absolument rien ne peut remplacer tes mains sur moi. J'ai essayé, vraiment mais c'est comme un labyrinthe avec une seule sortie qui me ramène toujours à toi.
Ce qui me fascine, c'est qu'après toutes ces années, j'ai toujours la même boule au ventre quand je te vois, à quel point j'appréhende ton jugement sur moi. Le monde n'a jamais été aussi beau que dans tes bras. Et pourtant, t'es toujours un abruti.
A